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2e_session

L’équipe

  • MJ : Nono
  • Alban : Erevan, druide elfe des bois
  • David : Prune, moine halfeline robuste
  • Jonathan : Elyaswë, ranger elfe des bois
  • Pascale : Olga, prêtresse naine des collines
  • Thierry : Prut, magicien gnome des forets
  • Vincent (Yuki) : Sandro, guerrier humain

Résumé de la partie

J+2 Dans Port Nyanzaru

Nous arrêtons notre choix de guide sur la vieille Ekou car elle nous semble être une femme d’expérience, prudente et tempérée. Cela nous inspire confiance. Sur ses conseils, nous complétons notre approvisionnement et nous procédons à l’achat des deux canoës qui nous permettront de remonter le fleuve Soshenstar jusqu’à la cité de M’Bala.

Après une bonne nuit de sommeil réparateur (le shopping et le tourisme c’est fatigant, surtout sous les tropiques), nous nous rendons au temple de SavrasOlga a rendez-vous avec le grand prêtre Zitambé. Il nous fait part de son extase divinatoire.

Il a vu une ville en ruines dans le lointain sud. Une agglomération cernée de collines et de falaises, avec en son centre une obélisque noire et des rues remplies de serpents. Une cité qui respire tellement le mal que Zitambé a pris peur et qu’il a préféré interrompre son rituel sans explorer plus avant. Cette révélation nous conforte dans la conviction que nous sommes sur la bonne piste pour trouver le Marchand d’Âme.

J+2 : Sur le fleuve

Commence alors notre périple sur le fleuve Soshenstar. Cette croisière est une déception : c’est fatiguant et inconfortable. Heureusement Ekou nous prodigue son savoir sur la flore, la faune et les dangers qui nous entourent, cela brise un peu la monotonie du voyage. Nous apprenons à reconnaître les racines qui donnent de la force et les fruits empoisonnés qui filent une terrible chiasse verte.

Nous avons même la chance d’apercevoir brièvement un Chouïnga, un esprit de la forêt dont l’apparition est –paraît-il– un bon présage. Je serais bien en peine de vous en dire plus car la créature est minuscule, furtive et cachée par un masque en bois peint. Nous apercevons également un vol de Terreurs, des dinosaures dotés de grandes ailes membraneuses. Ils sont haut dans le ciel et à cette distance nos sens peuvent être trompés mais il nous semble qu’une partie de leur corps est humanoïde, ce qui leur confère un air démoniaque. Nous n’avons aucun désir de les voir de plus près pour vérifier.

Nous ne déplorons heureusement que deux incidents mineurs pendant notre navigation. En premier lieu, nous sommes assaillis par une nuée de moustiques gros comme le poing. D’après Prut, ces bestioles seraient des Stirges. Elles semblent très déterminés à goûter le sang d’Elyaswë mais Prut fait promptement le ménage. En second lieu, notre camp est attaqué de nuit par un dinosaure aquatique massif. L’action combinée d’Elyaswë, Sandro et Prune met fin à la menace de cette créature mangeuse de crocodiles (un plésiosaure ?).

J+8 : Au Camp des Justes

Enfin, après une dizaine de jours de rame, nous avons la satisfaction d’atteindre notre première étape : le Camp des Justes, un lieu connu pour son immense statue d’homme portant un crocodile. Notre satisfaction est de courte durée car nous découvrons avec consternation que l’endroit a non seulement été déserté depuis des semaines mais que, de plus, il y a vraisemblablement été le théâtre de combats. Le lieu est dévasté, sans âme qui vive, hormis une autruche prisonnière de son enclos, qui informe le druide Erevan que le camp n'est pas totalement abandonné, car des créatures continuent à le visiter.

J+8 : Le sanctuaire de l'homme crocodile

Pour nous distraire et améliorer notre humeur, Ekou nous raconte la légende de l’homme porteur de crocodile. Cela pique notre curiosité et nous allons voir cette statue de plus près. Elle est immense, taillée dans le corps même de la falaise. Au pied de ce colosse s’ouvre un passage qui s’enfonce sous terre, vers le Sanctuaire de l'homme crocodile. Nous décidons d’explorer cette grotte mais nous nous heurtons rapidement à une série d’embûches de nature mécanique et magique. Tout au fond, il y a une porte mais nous sommes à la peine pour progresser plus avant.

Finalement, nous devons battre en retraite car Prut est grièvement brûlé par un piège plus sournois que les autres.

J+8 : Retour dans le Camp des Justes

Nous retournons au camp pour le soigner et, là, nous découvrons avec horreur que quelqu’un a profité de notre absence pour saboter nos deux canoës (le fond est percé à coup de hache) et fouiller dans nos paquets (il manque sans doute quelques provisions).

Nous cherchons activement des traces et des indices sur nos saboteurs. Elyaswë, notre meilleur pisteur, détecte la présence diffuse de morts-vivants dans la jungle qui nous entoure. Toutefois ce sabotage correspond tellement peu à ce que nous savons du comportements habituel des morts-vivants que cette information nous plonge dans la perplexité. Chult est décidément un pays étrange.

Nous transférons rapidement à l’abri de la grotte notre matériel et nos deux canoës. Que Prut pense pouvoir réparer magiquement en 4 jours. Puis, nous commençons à débattre d’une stratégie pour faire face à cette menace inconnue. C’est alors qu’apparaissent en lisière de la jungle des petites silhouettes de créatures portant des masques… (à suivre)

2e_session.txt · Last modified: 2017/12/04 21:54 by inzemoon